DSi à temps partagé : une solution indispensable pour les entreprises

Découvrez le temps partagé à travers les yeux de Stéphane Atlani, DSI expert pour Finaxim Rhône-Alpes

L’actualité récente et son lot d’informations anxiogènes sur la cybercriminalité ont mis récemment en lumière les services informatiques, en pointant la vulnérabilité des systèmes. Avec la dématérialisation des échanges et la numérisation des processus, le traitement de l’information a pris une place prépondérante dans les entreprises, et son bon fonctionnement est crucial. Quand l’informatique tousse, la production s’enrhume !

Pourtant, de ces femmes et ces hommes qui installent, maintiennent, développent les systèmes, on ne parle qu’en cas de défaillance. Et ce sont précisément les événements imprévus, qu’ils soient matériels ou humains, accidentels ou malveillants, qui exigent l’intervention urgente d’un expert.

Nous partons aujourd’hui à la rencontre d’un de ces secouristes, un DSI qui a choisi l’indépendance et intervient en temps partagé.

Stéphane Atlani avait déjà un parcours professionnel bien rempli lorsqu’il a créé son entreprise.

J’ai commencé à travailler en 2000 et en 2006, j’ai monté une première entreprise, en parallèle de mon emploi. Au bout de neuf ans, la vie m’a conduit à faire un choix et je suis retourné au salariat, avec toujours l’idée de redevenir un jour entrepreneur. Initialement, j’étais purement technicien, et progressivement, je suis passé de la technique au fonctionnel et du fonctionnel à l’organisationnel. Je suis resté vingt ans dans le même groupe, et j’y ai beaucoup appris : comment s’articuler avec les métiers, organiser les projets, gérer une feuille de route. Ensuite, je suis parti dans une ESN (entreprise de services numériques), où j’avais la responsabilité d’une équipe de 14 personnes et de 81 clients. C’était intéressant, mais routinier. J’ai eu envie d’avoir des perspectives plus enthousiasmantes.

C’est une rencontre qui fait revenir Stéphane dans le monde de l’entrepreneuriat. Finaxim cherche à étoffer son équipe de DSI experts, et le premier contact est positif.

J’ai rencontré Franck Vernay, directeur général de Finaxim Rhône-Alpes. J’ai vu une personne qui n’était pas un commercial, qui ne cherchait pas à promettre monts et merveilles, et cela m’a donné confiance. Ensuite, je me suis renseigné sur Finaxim. C’est un réseau qui a déjà 25 ans, qui compte une centaine de membres avec qui j’ai pris des contacts.

Être DSI à temps partagé répond bien aux aspirations de Stéphane, mais voilà, Finaxim ne travaille qu’avec des indépendants.

Cela faisait quelque temps que je voulais retourner à l’entrepreneuriat, et je me suis dit que c’était le moment. Même si ce n’est pas sa vocation, Finaxim m’a aidé à structurer le processus. J’ai discuté avec d’autres adhérents, des personnes qui étaient très intéressantes, qui avaient déjà eu le même parcours que moi. Nous avons comparé nos expériences, j’ai demandé des conseils sur leur manière de procéder et je me suis fait ma propre opinion. J’ai créé mon entreprise et j’ai signé directement avec Finaxim.

Travailler avec un réseau apporte un vrai plus dans la pratique quotidienne de Stéphane.

C’est rassurant de s’appuyer sur un réseau comme Finaxim. Aujourd’hui, nous sommes sept DSI et nous nous entraidons, quand nous avons une question ou que nous sommes confrontés à une difficulté. Nous constituons une communauté de métier qui permet de se réunir. L’activité de DSI prend de l’ampleur chez Finaxim, des ateliers et des présentations de partenaires sont organisés. Cela permet d’échanger des noms de prestataires sérieux, en sécurité ou en télécom, par exemple.

Finaxim prend aussi en charge les aspects commerciaux, que Stéphane n’apprécie pas vraiment.

Pour moi, l’intérêt de Finaxim, c’est m’apporter des affaires. Si j’ai adhéré au réseau, c’est parce que mon expérience passée montre que je ne sais pas vendre. De ce fait, j’ai délégué toute la partie commerciale. Finaxim m’apporte une partie des affaires, les membres du réseau une autre partie. Aujourd’hui, je n’ai pas besoin faire du démarchage pour trouver plus de travaux.

Être DSI en temps partagé, c’est souvent prendre en charge une mission de transition, pour accompagner la réorganisation, la croissance ou la réduction du service informatique.

J’ai des missions qui sont assez larges et qui sont intéressantes. Aujourd’hui, les entreprises ont du mal à passer à la taille supérieure, parce qu’elles n’ont pas les moyens d’avoir un DSI à temps complet. Pourtant, elles ont besoin que quelqu’un les accompagne. Je réorganise tout le service de développement applicatif, je mets en place des mécanismes, j’explique la méthodologie. Une fois que c’est fait, la société tourne bien, elle a de bons process. À l’inverse, de grands groupes, dans la distribution par exemple, sont en déflation, en ce moment. Leur problématique, ce n’est pas de grossir, c’est de décroître, tout en gardant la même qualité de service. Ils se font accompagner par un DSI Expert qui aura une vision extérieure, une nouvelle analyse de la situation et les aidera à explorer les bonnes pistes.

La mission de transition doit déboucher sur l’autonomie des équipes du client. Le temps partagé permet aux collaborateurs de s’affranchir progressivement de la tutelle de l’expert.

Pour une mission de six mois, j’ai accompagné les équipes deux jours par semaine. Pendant deux jours, je les cadrais, pendant trois jours, ils étaient en autonomie. Les deux jours suivants permettaient d’analyser ce qui n’avait pas été fait correctement, pour remettre les collaborateurs sur la bonne voie.

Il arrive que l’urgence oblige le DSI à jouer les pompiers :

J’ai fait une mission de quelques jours, dans le domaine de la cybersécurité. Je suis arrivé en urgence parce que les données de l’entreprise étaient verrouillées par des pirates, qui exigeaient de l’argent pour les restituer. L’assurance a envoyé un expert débutant dans le métier, qui a recommandé au client de verser la somme exigée. L’entreprise n’a pas suivi ce mauvais conseil, et en 48 heures, nous sommes parvenus à récupérer toutes les données sans verser la rançon.

Devenir indépendant, c’est changer d’état d’esprit, accepter l’incertitude, savoir composer avec les baisses d’activité et les pics de charge. La contrepartie, c’est la satisfaction de se fixer de nouveaux challenges, de voir son entreprise prospérer, et d’être son propre chef. Avec toujours en ligne de mire, le service au client. Car il faut bien le dire, DSI, c’est un métier ingrat, exigeant. Laissons la parole à Stéphane :

L’informatique, quand elle fonctionne, c’est normal, quand elle s’arrête, c’est inadmissible. Vous n’entendrez jamais un utilisateur vous dire « ça fait 9 mois qu’il n’y a pas de problème, bravo ! ». Par contre, au moindre souci, les récriminations vous parviennent en moins de dix minutes !

C’est pourquoi il est crucial pour les entreprises de s’assurer des compétences ad hoc pour développer et maintenir leur système d’information. Le DSI en temps partagé répond à ce besoin, qui va aller en s’amplifiant.

Un DSI à temps partagé pour les PME/PMI c'est possible !Vous souhaitez échanger avec nous ? Contactez directement nos équipes Finaxim qui vous répondrons en moins de 48h.

Pour suivre l’actualité réseaux du Groupe Finaxim c’est par ici  ▶ LinkedIn

Inscrivez-vous

à notre newsletter

Téléchargez le livre blanc

Le temps partagé, ou l'art
de faire franchir un cap
à votre entreprise

Le livre blanc gratuit à ne pas manquer
pour tout comprendre !

Retour en haut