L’argent est le nerf de la guerre, disait déjà François Rabelais au XVIe siècle. Rien n’a changé depuis, et les chefs d’entreprise le savent bien : de la saine gestion financière de leur société, dépendent son fonctionnement quotidien, son développement et sa pérennité. Pourtant, dans nombre de PME, cette responsabilité essentielle est exercée par le dirigeant, au détriment de son activité principale. Ne serait-il pas judicieux de confier cette fonction à un professionnel, rompu au maniement des outils financiers et familiarisé avec le labyrinthe tortueux des réglementations ?
Quelles missions pour le Directeur Administratif et Financier ?
Le DAF porte la responsabilité de la fonction financière de l’entreprise. Son périmètre couvre donc notamment la comptabilité, la fiscalité, le contrôle de gestion, la trésorerie et l’établissement du budget.
Au quotidien, il supervise l’ensemble de la production comptable (paie, facturation, gestion des flux de trésorerie…). Il contrôle l’établissement des déclarations fiscales, assure leur conformité avec la réglementation, et diffuse l’information financière.
Il établit des prévisions de croissance ou de contraction des ventes ou des bénéfices. Il conseille la direction sur la stratégie de l’entreprise et élabore le dossier de financement des projets.
Investisseur avisé, il peut être chargé de faire fructifier le patrimoine de l’entreprise par de judicieuses opérations boursières ou immobilières. Il dialogue avec le commissaire aux comptes, l’administration, les apporteurs de fonds.
Outre cet inventaire déjà dense, les prérogatives du DAF peuvent s’étendre sur le domaine des ressources humaines (élaboration des contrats de travail, respect des obligations juridiques, des avantages sociaux et de la conformité des locaux).
Il peut aussi être chargé de mettre en place des procédures de contrôle interne, d’élaborer la piste d’audit fiable, ou d’implanter la gestion électronique des documents.
Expert financier, mais pas seulement…
Une grande rigueur et une organisation sans faille sont indispensables pour mener à bien les diverses missions dont il est chargé. Responsable d’équipes, le DAF devra aussi faire preuve de qualités managériales pour encadrer ses collaborateurs. Enfin, des aptitudes au dialogue et à la négociation ne seront pas superflues pour assurer son rôle d’interlocuteur privilégié pour les parties prenantes de l’entreprise.
Ces compétences sont fortement recherchées sur le marché du travail. Et bien sûr, elles ont un coût. La rémunération annuelle d’un DAF peut atteindre 70 000 euros bruts dans une PME, jusqu’à 150 000 euros dans un grand groupe[1]. Évidemment, ce n’est pas dans les moyens de toutes les entités.
D’autre part, les besoins d’une PME ou d’une petite ETI sont moindres que ceux d’une grande entreprise. Ils n’exigent pas nécessairement la présence d’un intervenant à temps complet. Pour ces raisons, le temps partagé se révèle une solution souple et pertinente.
Le DAF en temps partagé, une expertise optimale et un coût accessible
Le DAF en temps partagé, c’est un expert qui intervient dans plusieurs entreprises, pour assurer des travaux récurrents ou bien pour mener à bien une opération ponctuelle.
Dans le premier cas, l’accompagnement du professionnel se déroule sur une fraction de la semaine (le plus souvent deux jours, éventuellement trois jours durant la phase de lancement). Cette mission a vocation à se prolonger sur le long terme. Outre le pilotage financier, l’expert peut mener un audit interne à l’issue duquel il formulera des propositions d’amélioration de l’organisation et des processus. Pour l’entreprise, c’est l’assurance de bénéficier de compétences pointues sans alourdir inconsidérément sa masse salariale.
La mission de DAF en temps partagé peut aussi se décliner sous la forme d’une intervention ponctuelle, sur un temps court (de trois à six mois, le plus souvent), pour répondre à un besoin spécifique. Le montage d’un plan de financement, le passage d’un audit externe en vue de l’obtention d’une certification, l’élaboration d’un business plan, sont quelques exemples d’opérations très techniques pour lesquelles l’assistance d’un professionnel ultra-compétent est plus que bienvenue !
En optant pour le temps partagé, l’entreprise s’attache les services d’un expert qui, sans en être salarié, n’est toutefois pas un intervenant extérieur. Il s’investit fortement dans la performance de l’entreprise qu’il accompagne sur le long terme. Sa position lui confère une vision plus large et fait de lui une force de proposition.
Souple et modulable, la formule permet au dirigeant de réajuster la prestation, en fonction de l’évolution des besoins et des possibilités financières de l’entreprise.
Comment trouver la perle rare ?
À la lecture de cet article, le dirigeant avisé se demandera probablement où et comment dénicher un professionnel qualifié, suffisamment fiable pour que lui soient confiées des responsabilités aussi critiques.
De nos jours, le bouche-à-oreille s’appelle le réseau, et c’est là que FINAXIM intervient. Faire appel à notre cabinet de directeurs externalisés, c’est gagner un temps considérable et être certain de trouver le bon intervenant.
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[1] Source : https://cadre-dirigeant-magazine.com/manager/daf-definition-fonction/