Trois ans et demi après la publication de la loi de mai 2004, trop d’entreprises n’ont pas encore mis en œuvre le DIF.
Une conséquence due à une position attentiste de la part des entreprises renforcée par le peu de sollicitation venant des salariés…
Une situation qui pourrait s’avérer coûteuse pour les PME.
Sur le plan légal, les salariés démissionnaires ou licenciés peuvent faire valoir leur droit à la formation au titre du DIF, un risque financier difficile à surmonter…
Sur le plan social, l’absence de communication dans l’entreprise et la méconnaissance du dispositif pourraient générer de la part des salariés des demandes inappropriées.
Communiquer sur le droit individuel à la formation s’avère être un réel enjeu stratégique qui permettra de transformer cette « obligation » en opportunité pour l’activité de l’entreprise.
Article rédigé par la société INSER