Un rapport remis par la délégation aux droits de la femme souligne les risques d’augmentation de pauvreté liée à cette forme d’emploi.En effet, le travail à temps partiel, souvent synonyme de bas salaires, se caractérise en fin de parcours professionnel par la faiblesse des retraites. Ainsi cette double pénalisation, touche principalement les femmes (une femme dans 8 cas sur 10) et est injuste si ces salariés n’ont pas choisi cette forme d’emploi, et au regard de la forte productivité dont font souvent preuve ces salariés.
