Les incertitudes liées au premier confinement et aujourd’hui à un rebond de la crise du Coronavirus ont obligé un grand nombre d’entreprises à se réorganiser, dans la précipitation, dans un premier temps. C’est désormais l’heure du redémarrage économique, de la relance, de générer de la croissance.
Mais comment anticiper l’inconnu, sans faire prendre à son entreprise le risque d’une procédure longue d’embauche d’un salaire élevé en CDI ?
Quelles solutions pour la relance économique de votre entreprise, pour faire face aux crises ?
Dans ce contexte inédit, le recours à l’externalisation parait être la solution idéale : l’externalisation (Management de transition, temps partagé) permet de mobiliser immédiatement un manager opérationnel très expérimenté pour une durée plus ou moins longue. De quoi faire face à une urgence, ou préparer l’avenir de l’entreprise.
Le manager externalisé offre à l’entreprise son expertise métier, mais aussi sectorielle, et répond à un besoin extrêmement précis de l’entreprise : mise en place d’un plan de départ volontaire (expert DRH), gestion de trésorerie et visibilité sur le pilotage de celle-ci (responsable/directeur comptable, contrôleur de gestion, RAF, DAF), projets techniques et informatiques (DSI) ou bien audit d’organisation de l’entreprise (direction opérationnelle-COO), révision du business plan (direction commerciale), mentoring de dirigeants….
Afin de répondre au besoin de flexibilité des entreprises, l’externalisation existe à temps plein (en mode projet) et pour les plus petits projets ou structures, à temps partagé (d’une journée par mois à plusieurs jours par semaine).
Pour l’entreprise l’externalisation est un gain de temps et de compétitivité et permet d’appliquer des best practices éprouvés.
Pour les cadres expérimentés, l’externalisation en période de crise est aussi un atout : face au gel des embauches, à l’incertitude liée au marché du travail, aux envies de liberté fortement exprimées par les cadres pendant le confinement, l’externalisation permet aux cadres de plus de 45 ans de rebondir en apportant une réelle valeur à leur travail : relever des défis, transférer ses compétences. Ils bénéficient aussi d’une véritable liberté dans le choix de leurs missions, mais aussi dans leur liberté d’expression puisque hors de toute politique interne à l’entreprise.
Pour conclure, l’externalisation opérationnelle, succès incontestable pendant la crise pour les entreprises l’ayant mis en œuvre, répond aux enjeux économiques des sociétés et aux aspirations des cadres expérimentés.
Cette forme d’emploi s’inscrit désormais dans la durée comme une véritable évolution du monde du travail.
Sophie Opron