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Des licenciements économiques moins nombreux qu’il n’y paraît…

Les clés pour nourir un vivier

Les licenciements économiques ne concernent que 2% des départs de l’emploi, les licenciements collectifs 0,5% ; tandis que les licenciements pour motif personnel, donnant
fréquemment lieu à des transactions, correspondent à plus de 6% des départs de l’emploi.Les licenciements économiques ne concernent que 2% des départs de l’emploi, les licenciements collectifs 0,5% ; tandis que les licenciements pour motif personnel, donnant
fréquemment lieu à des transactions, correspondent à plus de 6% des départs de l’emploi.

Il y a donc 12 fois plus de licenciements pour motif personnel que de licenciements collectifs : on assiste depuis le début des années 1990, à une montée en puissance des licenciements pour motif personnel et à une diminution des licenciements pour motif économique.

Il semble que les entreprises tentent de plus en plus de congédier leur main d’oeuvre en évitant certaines procédures de plus en plus complexes et aléatoires, étroitement contrôlées par l’administration.

Les licenciements pour motif économique diminuent régulièrement et ont été divisés par 2,9 entre 1989 et 2004, tandis que les licenciements pour motif personnel ont cru de 50% sur cette période. Quant aux démissions, leur nombre est resté à peu près stable sur cette période. C’est donc la pratique du licenciement qui s’est profondément transformée.

Aujourd’hui, les entrées dans le chômage consécutives à un licenciement pour motif personnel sont près de trois fois plus nombreuses que les entrées consécutives à un
licenciement économique.

DARES, Juillet 2004 et Rapport Cahuc / Kramarz

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