L’introduction croissante des DRH au comité exécutif des entreprises est un signe de l’importance du débat social dans les entreprises sur la qualité de service. Les DRH inscrivent de plus en plus leur action dans l’intérêt économique de l’entreprise et se dotent d’outils aptes à décrire les conséquences économiques de l’acte social.La relation qui unit DRH et PDG s’assimile souvent au plus comme de l’affinité au moins comme un socle intellectuel commun. Il n’est pas nécessaire de partager les mêmes convictions mais un défaut d’affinité minimale est rédhibitoire.
Quand les deux protagonistes sont complètement en phase et que les propositions du DRH sont validées par le PDG, ce dernier dispose de toute l’autonomie pour mobiliser son réseau interne en direct.
A l’inverse, d’autres DRH prônent le libre arbitre, un climat de débat entre les ressources humaines et la direction, un tandem trop proche pourrait conduire à un déséquilibre nuisible au bon fonctionnement de l’entreprise.